Une récente étude abondamment relayée sur internet, indique que le chauffage au bois serait la première cause de pollution hivernale dans la région Rhône-Alpes, région par ailleurs la plus polluée de France.
Un paradoxe quant on sait que le bois énergie à la réputation d’être une énergie propre et accessible ? Pas vraiment. En réalité ce sont les modes d’utilisation en régions péri-urbaines qui sont les premiers responsables de la dégradation de la qualité de l’air et non le bois de chauffage lui-même. A commencer par les feux ouverts type cheminées que l’on trouve dans très nombreux pavillons.
Ainsi, le recours à des foyers fermés plus modernes ou encore à des poêles à granulés de bonne de qualité permettent effectivement de faire des économies et de contribuer à faire baisser son empreinte écologique.