L’été est là, c’est désormais incontournable : les enfants entament leurs longues vacances estivales et les parents jonglent entre les grands-parents, les nourrices, les colonies de vacances et les centres aérés, tout en se dépêchant de terminer le travail qui leur incombe, avant de prendre leur voiture et de partir en famille, loin du quotidien et du monde professionnel. Pour autant, ils ont en règle général déjà prévu de budgétiser toutes les dépenses de l’été, il y a quelques mois. Or même si l’on consomme moins d’énergie l’été, du fait de la chaleur, il y a aussi quelques dépenses domestiques qui restent d’actualité, même durant la période des vacances.
Quelle énergie pour quel montant ?
L’été il fait d’ordinaire assez beau et les radiateurs restent éteints, au moins jusqu’à la rentrée, et plus longtemps encore si septembre et octobre se révèlent cléments. Pourtant juillet et août ne sont pas des mois où les dépenses liées à l’énergie sont au plus bas. En effet dans les régions les plus chaudes, principalement dans le sud du pays, la climatisation tourne assez vite, une fois le 1er juillet passé. Il n’est effectivement pas rare de voir le thermomètre monter au-dessus de la barre des 30 degrés dès le mois de juillet à Marseille. La climatisation donc, est une des installations les plus gourmandes en énergie électrique.
L’autre grande dépense de l’été, avant que l’on ne pense à à vérifier le tarif du fuel domestique dans quelques semaines ou quelques mois (en fonction de son lieu d’habitation), est sans conteste le carburant. Il en faut en effet pour emmener les enfants en vacances chez les grands-parents, puis revenir, pour ensuite mieux repartir les chercher et enfin les emmener avec nous dans un lieu dédié aux congés. Cette dépense en essence est l’une des plus conséquentes pour les ménages l’été… sauf pour ceux qui préfèrent prendre le train.