Les critères « on-site » retenus par Google Penguin

Contrairement à son homologue Google Panda, Google Penguin ne semble toucher que certaines pages, laissant penser que son analyse – et ses sanctions – ne pénalise donc pas systématiquement la totalité des sites. Une aubaine qui permet aux propriétaires des URL incriminées, de continuer à exister pendant toute la durée de la pénalité. A noter que le filtre réévalue l’ensemble des sites, une fois par mois, le temps de corriger le tir et de répondre à ses exigences ; mais, dans l’intervalle,  aucun changement ne sera opéré sur les pages du moteur de recherche.

Même si la cible première de Google Penguin est de ne pas de sanctionner la sur-optimisation interne, il n’en reste pas moins quelques critères clés pouvant constituer des facteurs aggravants et pousser un site « border-line » dans les méandres des résultats Google.

Le titre des pages

Si la balise <Title> doit être remplie et optimisée, elle ne doit pas faire l’objet d’un nombre trop important de mots-clés : la répétition systématique des expressions phare sur les balises <h1>, <h2>, <h3>, etc., n’est plus tolérée. Le contenu doit – avant tout – susciter l’envie de cliquer et de lire.

Le contenu-texte des pages

Au-delà des balises et des titres, le contenu est également étudié, afin d’y détecter le « Keyword stuffing » – en français, le bourrage de mots-clés – dont la pratique est désormais sanctionnée. (Mais, a-t-elle jamais fonctionné ?). L’idée directrice, dictée par Google Penguin, est de produire un contenu de qualité. A noter que certaines méthodes – utilisées par les rédacteurs web – permettent d’obtenir de beaux résultats, tout en respectant les volontés du pingouin. Dans cet esprit qualitatif, il est recommandé d’éviter la technique du « content spinning », une méthode qui consiste à écrire un texte, puis à y ajouter des synonymes à chaque mot, de manière à générer, automatiquement, des textes différents. Enfin, Google Penguin fait aussi la chasse aux pages débordant de publicités…

Les liens internes ou externes du site

Concernant le maillage d’un site, Google Penguin sanctionne les URL qui disposent d’une quantité de liens pointant vers des sites de mauvaises qualités, voire déjà sanctionnés par l’animal. Il est donc préférable de miser sur des liaisons choisies minutieusement, plutôt que de privilégier le nombre. Au niveau des liens internes, le filtre du géant américain pénalise l’utilisation systématique des mêmes ancres, à savoir des mêmes textes de lien, qu’elles soient présentes au sein du site ou au sein de la même page.

A ce jour, Google Penguin ne semble pas tenir compte du CMS (Content Management System ou Système de gestion de contenu, en français). En d’autres termes, le recours à WordPress, Magento, Prestashop ou n’importe quelle autre solution, ne porte pas préjudice au site. A priori, l’animal ne s’intéresse pas, non plus, aux données relatives au Webmaster, à l’exception, peut-être, du nom de ses autres sites en gestion (voir « Les critères « off-site » retenus par Google Penguin »).

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